Les modèles sur lesquels repose l'élevage de volaille d' Afrique de l'ouest ont, ces dernières années, montrés qu'ils n'étaient pas appropriés car à la base d'un certain nombre d'échecs.
Il est devenu de plus en plus courant de voir des élevages intensifs apparaître aux abords des grandes villes en Afrique. L'élevage intensif, calqué sur le modèle européen ne peut néanmoins pas être repris de la même manière, puisqu'il implique un accès à des infrastructures, à l'électricité et à l'eau.
L'élevage intensif consiste à élever, sur une surface minimale, un nombre de volailles important et ainsi de tirer un maximum de profit avec un minimum de coûts. Il n'est pas rare de voir des entrepreneurs demander des devis de poulet, puisque le but est donc de s'enrichir dans l'elevage des poulets.
Les infrastructures étant manquantes, il est difficile de transposer l'agriculture intensive, dans ce cas l'elevage des poulets en Afrique.
En effet, lorsque l'on pratique l'élevage intensif, il faut faire appel à des veterinaires dans le but de vacciner et traiter les poulets, qui, dans un espace réduit sont enclins à attraper toute sorte de maladie. Les produits vetos engendrent des coûts, qui doivent ensuite être répercutés sur le consommateur.
Les bâtiments dans lesquels les volailles sont élevées sont très coûteux, et la proprete doit être présente pour satisfaire consommation du poulet de chair propre à ingérer. Le volailler aura ainsi des coûts à assurer, et ceux-ci sont difficiles à supporter, surtout lorsque l'on vient de commencer le business.
Les causes nommées précédemment qui sont à l'origine de l'échec de l'élevage de poulets sont indéniables, mais il est important de se demander pourquoi les conditions en Afrique de l'ouest pour l'élevage intensif ne sont pas réunies.
Pour commencer un business par l'élevage intensif, il faut tout d'abord une demande importante de la part des consommateurs, et une demande de prix bas.
Or la société de consommation en Afrique n'est pas la même qu'en Europe, la demande n'est donc pas si élevée. De plus, la culture n'est peut être pas propice à l'achat de poulets qui ont été élevés dans des conditions peu optimales.
Cet échec remet en question la pratique d'élevage intensif, qui plus est lorsque les conditions sanitaires sont douteuses. Il serait sans doute nécessaire de construire les infrastructures nécessaires, voire de reconsidérer le modèle d'élevage de volailles.Pour toutes vos préoccupations,Appelez Mr Ferdinand Cel: 07 57 23 61.
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